8 juin 2011

Du monde au balcon pour les Affreux Jojo !

Un match exceptionnel ! Cette lutte fratricide aura tourné à l'avantage des Affreux pilonnant les pauvres Tireurs anonymes dont, par charité chrétienne, nous tairons les noms et que nous désignerons d'un surnom pour éviter les représailles. Merci donc à Dzabelle (elle aura donné du fil à retordre c'est sûr, surtout après que son conjoint lui a téléphoné pour lui annoncer une excellente nouvelle... en plein match !), Ricced et Domi (qui prétendait s'être surentraîné toute l'année, le bougre !), malgré ce score cruel sur lequel nous ne nous apesantirons point pour ne pas humilier de si charmants collègues.
L'entrée en fanfare de Laurence (alias miss poids chiche depuis qu'elle s'occupe du projet Mini Waste) & Filou fut fatale aux Tireurs. Que dire de Schpountzy, dont c'était le 3e match et qui, impérial sur le champ de tir, emmena l'équipe - en totale harmonie - au faîte de son talent ? Quelle volée de métal, mes aieüx ! Les approches timides des apologistes du verbe, pour le coup muets d'admiration, n'inquiétèrent nullement les Affreux qui, après le remplacement de Lolo par la Brouxe, les crucifièrent d'un coup d'un seul, sous les hourras des habitants du square, criant leur joie depuis les balcons environnants. Quel coaching chez les Affreux, ma doué !

Schpountzmaster, docteur en théologie boulistique.

* Dixit la foule amassée aux balcons.

4 Comments:

Dzabelle, pointeuse jusqu'auboutiste. said...

Ce n'est pas tant "la foule amassée au balcon" qui me fait douter de la véracité de ce compte-rendu au verbe haut, mais je reconnais fort bien tourné (à son avantage).
Mais quand même, "muets d'admiration"... Faut pas tirer trop fort le cochonnet (d'ailleurs _petit commentaire en apparté_ sur longue distance, entre 8,72m et 9,95m, les Affreux font moins les fiers, non ?).

Sans rancune malgré tout. Le match fut acharné, brave avec le "juste ce qui faut" de mauvaise foi et de tentative de destabilisation de l'adversaire. Comme dirait Thierry Roland (et oui, moi aussi, j'ai des lettres) : "Du beau jeu comme on aimerait en voir plus souvent".

Anonyme said...

C'est pas un poil trop lyrique?? J'ai le souvenir (j'ai souvenance comme dirait un ex-maire)de pointeurs ayant le trouillomètre à zéro alors que le score n'était que de 12-12. De lanceurs de boules dont le bras tremblait comme une feuille sous la bise, sentant que le match leur échappait. De tireurs priant saint Marius pour shooter la bonne bille. Une chose est vraie. Ce fut une belle rencontre jouée par de bien belles personnes. A quand la revanche?

Philou l'pointou said...

Votre heure sera la nôtre, ô fiers et anonymes tireurs !

Ricced said...

N'ayant pas brillé outre mesure pendant cette mémorable partie - que je qualifierais de défaite à l'arraché, ou "d'échec au goût de victoire" pour paraphraser Raymond Domenech lors d'une fameuse Coupe du monde -, je m'abstiendrai de tout commentaire.

D'ailleurs qu'est-ce que je fais là ?